Partager l'article ! Equipée sexuelle sauvage à travers la ville: Cette fille est une gentille bourgeoise tombée amour ...
SEXE-ADDICTION
Chaque jour du sexe vécu et différent...
Cette fille est une gentille bourgeoise tombée amoureuse de moi, sans doute pour donner du piment à sa vie.
Faut dire qu'elle a tout pour mener la meilleure des existences : un mec plein aux as, un boulot plutôt tranquille et bien payé, une grosse bagnole, une belle maison.
Ele aurait pas dû me prendre comme amant.
Elle devait se douter que je ne faisais que lui raconter de baratin pour pouvoir la niquer.
Maintenant il est trop tard pour revenir en arrière.
Je la tiens, et bien.
Lorsque j'en ai envie j'organise avec ma femme une folle équipée à travers la ville.
Ma jeune maitresse doit nous suivre et exécuter tour ce qu'on exige d'elle.
Regardez ma salope de femme qui a foutu ma jeune maîtresse à moitié à poil et qui la maltraite méchamment pour se venger de son infortune.
La jeune femme violentée n'en mène pas large !
J'exige qu'elle me pompe le dard.
Et elle a intérêt à le faire super bien.
Faut qu'elle me donne un max de plaisir, la chienne.
Elle doit maintenant s'enfiler la chatte entre ses cuisses, dans son trou de femelle.
Gare à toi, pétasse, si tu ne glisse pas ton orifice correctement sur ma queue qui veut aller au plus profond de ton ventre.
C'est dans sa bouche que je veux décharger aujourd'hui.
C'est trop bon.
Elle avale tout mon jus, sans en perdre une goutte !
J'ai eu mon plaisir.
On l'entraîne dans un lieu malfamé de la ville.
Sous le pont, il y a toujours un attroupement de mecs louches, des pervers qui ne cherchent qu'à magouiller ou tirer un coup avec n'importe qui.
On leur offre notre docile soumise qui va se transformer en vide couilles en étant salement violentée.
Impossible pour elle de s'enfuir, mais le voudrait-elle ?
Elle doit subir les assauts crades de tous ces mecs vulgaires et agressifs qui l'utilisent comme une moins que rien.
Au bout d'une bonne heure de baises agressives, humiliantes, sales, nous devons extraire la jeune femme exhangue de la furie.
Nous l'emmenons plus loin.
Nous décidons de prendre le bus.
Dans le véhicule, nous la foutons carrément à poil et nous la proposons aux passagers ébahis.
Ils ont trop la trouille, les cons, pour se la farcir.
Tant pis pour eux, c'est moi qui en profite à nouveau...
Dans quelques temps on va la ramener près de chez elle, jusqu'à la prochaine fois ...
Elle sera totalement démontée, démolie...
Ma femme et moi, par contre, quel pied on aura prit !
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