Mardi 13 novembre 2 13 /11 /Nov 17:57

J'avais amené ma salope de femme chez le gars que j'appellerai Maître T, avec qui j'avais longuement discuté sur le site internet. Le deal fit l'objet de tractations laborieuses tant nous voulions chacun y trouver notre compte. Évidemment au détriment de Cathy, ma femme, qui m'avait rendu cocu avec un de ses collègues et avait même projeté avec lui de m'assassiner purement et simplement pour récupérer mon assurance-vie ! 

 

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Mais la pute ne savait pas que j'espionnais ses échanges de mails perso et professionnels grâce à un pote hacker. Un soir, je lui balançai les preuves à la gueule :

– Sale chienne, tu as le choix : soit je communique toutes les preuves à mon cousin qui est gendarme, et toi et ton amant allez en taule pour une éternité ; soit tu acceptes de subir une punition exemplaire qui te laissera meurtrie dans ta chair de femme, et ensuite on divorce."

Évidemment, la pute ne pouvait qu'accepter mes conditions et c'est ainsi que je l'amenai chez le Maître, un sadique notoire qui sévissait sur le net.

 

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Laissez-moi vous faire une description rapide de Cathy. C'est une belle femme svelte de 33 ans, brune aux longs cheveux bouclés, avec de beaux yeux verts en amande, un nez mutin et de fines lèvres qui encadrent une bouche sensuelle. Son visage est joli ; ce n'est pas non plus Miss Monde, mais elle est clairement bandante, surtout quand le regard s'attarde sur son sympathique 85 D. Qui débordait presque de son chemisier car le Maître avait exigé une tenue ultralégère : pas de sous-vêtements, chemisier très très décolleté, mini-jupe moulante, talons.

 

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Elle n'en menait pas large, ma Cathy, elle qui faisait souvent sa fière, sachant très bien qu'elle faisait tourner la tête des hommes... Elle m'avait imploré, supplié ; elle avait promis de tirer un trait sur ses égarements et de revenir comme à nos 20 ans. Bref, elle avait fait son cinéma mais niet, je ne voulais qu'une chose : la faire souffrir autant psychologiquement que dans sa chair.

 

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Nous étions donc de bon matin devant le Maître, dans sa résidence perdue au fin fond de la cambrousse, loin de tout voisin. Le gars en imposait littéralement, et même moi j'étais impressionné par son regard de tueur sadique, son faciès sinistre et ses traits durs.

 

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Une sublime jeune femme blonde d'une vingtaine d'années nous avait ouvert la porte du manoir, uniquement vêtue d'un string et chaussée de talons-aiguilles vertigineux. Les zébrures marbrées et les bleus dont était couverte son opulente poitrine témoignaient des penchants du maître des lieux et je me mis immédiatement à bander. 

 

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La blondinette me souhaita la bienvenue d'un ton enjôleur, ignora délibérément Cathy et me pria de bien vouloir la suivre. Je lui dis qu'elle était très belle, ce à quoi elle me répondit que ce serait un honneur pour elle de me donner du plaisir. Je n'hésitai pas à lui palper immédiatement ses lourds globes meurtris aux larges aréoles, puis voyant qu'elle se laissait faire et qu'elle me regardait d'un air soumis, je cédai à mes penchants trop longtemps réfrénés en lui assénant une volée de claques sur les seins, sous le regard consterné de mon épouse. Je poursuivis en lui tirant et lui pinçant les tétons tout en lui demandant si elle aimait ça.

 

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– Oui monsieur, j'adore être le jouet des hommes mais, je vous en prie, j'ai reçu pour instruction de vous conduire à mon Maître, dit-elle d'une voix hachée, alors qu'un rictus de douleur déformait ses traits et qu'un spasme (de plaisir ?) lui parcourait le corps.


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Je me maîtrisai et la laissai nous devancer tout en matant son joli petit cul. Cathy était devenue livide et je dus la faire avancer en lui tirant le bras.

 

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Nous fûmes amenés dans un grand bureau dans lequel nous attendait le gars. Il ne perdit pas de temps en préambules et après avoir congédié, à mon grand regret, la minette d'un simple regard, il me tendit un document.


– Voici le contrat. Vous le signez tous les deux et vous paraphez chaque bas de page.

Son ton était sec et autoritaire. 

 

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Il sortit de la pièce immédiatement, nous laissant désemparés. Il n'avait même pas jeté un regard à ma femme qui était sur le point de se mettre à chialer. Je la fis asseoir et me plongeai dans la lecture du doc que je connaissais, ainsi que Cathy car je le lui avais fait lire sur internet ; mais je voulais vérifier que rien n'avait été modifié, retranché ou ajouté. Mais non, rien : c'était nickel et ça promettait une belle partie de plaisir, enfin pas pour tout le monde dans la pièce ! 

 

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Je m'empressai de mettre mes initiales et signai. Je dus forcer Cathy qui, d'une main tremblante et entre deux sanglots, ne réussit qu'à produire des gribouillis dignes d'un gamin de CP. Le bureau devait être équipé de caméras, car à peine reposais-je le stylo que le gars revenait, accompagné de la déesse qui allait être mon jouet : une rousse pulpeuse, coupe au carré, au visage divin, avec des seins superbes en forme de poire et de longues jambes fuselées. Je bandais à nouveau comme un taureau.

 

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Je vous résume brièvement le deal : Cathy devenait la propriété du Maître pendant 24 heures ; en échange, j'avais pu choisir une esclave parmi une chouette liste de nanas toutes plus bandantes les unes que les autres. Évidemment, j'étais "perdant" dans l'affaire car Maître T n'avait pas besoin de moi pour toper des filles et en faire ce qu'il voulait. D'où les âpres négociations.

 

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En clair, je pouvais baiser la fille comme je le voulais ; elle ferait tout ce que je voudrais, mais il y avait une restriction de taille : je ne pouvais lui faire subir que du BDSM light. Par contre, Cathy serait torturée sexuellement ; elle serait dégradée et humiliée, devrait sucer toutes les queues – humaines ou non – qu'on lui présenterait, etc. La seule limite était : pas d'atteinte à sa vie, pas de mutilations sévères, d'où le contrat digne d'un décret de droit fiscal. Le sort promis à Cathy me convenait parfaitement ; je pouvais même assister et participer à son calvaire. Tout serait filmé et ferait l'objet de vidéos revendues en douce sur le net, dont je toucherai un pourcentage.

 

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– Toi, à poil ! fit Maître T d'un ton ne souffrant aucune discussion et en lançant un regard mauvais à Cathy. Voici Nina pour vous, poursuivit-il en se tournant vers moi. Désirez-vous qu'elle vous conduise dans ses quartiers pour que vous vous en occupiez en toute intimité ou préférez-vous assister au début de l'agonie de votre truie ?

 

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– Je vous suis : il est hors de question que je manque le début des festivités données en l'honneur de ma pute de femme, répliquai-je tout en lorgnant avec envie les formes superbes de Nina qui s'était docilement agenouillée aux pieds de Maître T.

– Fort bien, je ne suis pas surpris : c'est toujours la réponse que l'on me donne.


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Il arracha le chemisier de Cathy qui, tétanisée et sanglotante, était restée pétrifiée sur sa chaise. Elle se mit à hurler et entra dans une vraie crise d'hystérie. Le gars attrapa calmement une cravache de dessous son bureau et envoya un coup cinglant sur le lourd sein gauche de Cathy. Une vilaine marque violette se matérialisa presque immédiatement. Cathy hoqueta sous la violence du coup, voulut se protéger instinctivement la poitrine mais je lui attrapai ses bras que je ramenai en arrière et bloquai contre le dossier de la chaise.

 

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– Calme-toi, lui glissai-je à l'oreille, tu aggraves ton cas. Tu préfères faire dix ans de taule, te faire violer et brutaliser tous les jours par tes collègues détenues ? Là, tu n'as que 24 heures à souffrir ; après, tu seras débarrassée de moi à jamais et tu pourras refaire ta vie avec ton bobo. Oh, certes, tu te souviendras longtemps de ces 24 heures, dont les excès resteront gravés longtemps dans ta chair et plus encore dans ta misérable cervelle ! Mais 24 heures, bordel, contre 10 longues années qui seront chacune 365 jours d'agonie, alors ? Et si tu ne te suicides pas avant, ou... qu'on te suicide pas, hein ? Tu l'as bien méritée, ta punition, Cathy ; alors, fais le dos rond, laisse-nous nous amuser un peu et tout le monde sera content.

 

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Maître T avait profité de ce répit pour se munir d'une paire de menottes qu'il boucla d'un geste rapide sur les poignets de ma femme, habitué qu'il était manifestement à ce genre d'accessoires. Cathy se débattit et cria de plus belle ; alors le gars lui enfila un bâillon et le silence reprit possession de la pièce, au grand soulagement de mes oreilles martyrisées.

 

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Je m'excusai :
– Je vous avais prévenu qu'elle serait un peu rétive ; elle a toujours été une forte tête, cette garce...

– Les amies de mes invités présentent souvent ce désagréable défaut : les femmes ne sont plus éduquées comme elles le devraient. Bien, suivez-moi ; l'heure tourne et il est temps de passer aux choses sérieuses.

 

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Chacun tenant fermement Cathy par un bras, nous empruntâmes quelques couloirs avant d'arriver dans le donjon de Maître T, une large pièce aux murs capitonnés, munie de tous les accessoires qu'on peut imaginer dans un tel endroit, et qui vous provoque soit des frissons dans le dos, soit une douce chaleur dans le bas-ventre...

Par sexaddiction - Publié dans : Fantasmes
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