Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 08:16
 
 
Je ne voulais pas qu'il entre chez nous. Il me paraissait plutôt louche. Et trop entreprenant, collant, dès que mon mari avait le dos tourné.
C'est vrai que je m'amusais à l'allumer lorsque mon mari avait le dos tourné.
Mais cela ne devait pas porter à conséquence.
 
Et puis il est entré dans l'appartement cet après midi, profitant que je me trouve seule.
Il m'a bloquée alors que je voulais m'enfuir et jetée sans ménagement sur le canapé.
 
 
 
Salaud ! Je ne veux pas que tu prennent mes seins avec tes sales pattes !
Mais tu es fou !
 
 Il est hors de question que je mette ton sexe dressé dans ma bouche !
 
 
 
 
Ton attitude est inadmissible.
Je vais le dire à mon mari.
 
 Tu vas le regretter.
 
 
 
 
 
 
Il me bascule face contre le canapé, me force à me mettre à genoux !
 
Mon dieu ! Je t'en supplie, fumier, ne déchire pas ma culotte.
Je ne veux pas que tu m'humilies ainsi.
 
 
J'ai peur !
 
Il  déchire mes vêtements ce pourrit.
Je sens son sexe durci glisser entre mes fesses.
Sa bite force le passage des lèvres fermées de mon vagin et pénètre brutalement dans le passage intime.
Il va et vient en moi, dans mon intimité de femme. C'est insupportable...
 
 
 
 
Il me fait mal le salaud. Il me brutalise sexuellement sans pitié.
Plus je me rebelle et plus il me fait souffrir avec sadisme.
 
 
 
 


Mais, non, mais ce n'est pas possible.
 C'est trop abominable.
 personne n'a jamais pénétré l'orifice inviolé de mon anus.
 
 
Il ne va pas se le permettre quant même !
La douleur est terrible lorsque son membre durci par le vice pénètre dans mon fondement.
Il me sodomise à grands coups de rein qui me brûlent l'intérieur.
 
 
 
 
C'est fini.
Je ne parviens plus à lutter.
 Je suis épuisée.
 je me laisse faire, malmener, comme un vulgaire jouet sexuel.
 
 
 
 
 
J'ai honte d'éprouver un certain plaisir à me faire violer par cette ordure.
Je le hais.
En même temps, je jouis de la plus malsaine des manières.
 Je me traite de putain.
 
Et je ne regrette peut être pas cette ignoble agression sexuelle
 
 
 


 

 

Honteuse, et humiliée, je ne dirais rien à mon mari.

Et si mon agresseur veut encore me posséder comme une moins que rien, j'accepterais peut être de me faire sauvagement humilier...

 

Je ne sais pas 

 

 


Par sexaddiction - Publié dans : Sexe brutal
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