Partager l'article ! La méchanceté du sado-maso lesbien: Vous savez, je suis une jeune femme tout ce qu'il y a comme il ...
SEXE-ADDICTION
Chaque jour du sexe vécu et différent...
Vous savez, je suis une jeune femme tout ce qu'il y a comme il faut.
Je suis mère de famille avec de beaux enfants, j'ai un mari aimant et que j'aime.
J'ai un bon job et d'excellentes relations avec mes voisins, mes collègue de travail.
Tout serait pour le mieux, si je n'avait ce secret terrible qui me mine l'existence et en même temps me procure tellement de plaisir.
Ca se déroule une fois par mois environ. Je dis à mon mari et à mes enfants, que je passe une soirée sympa entre copines.
En fait j'ai cherché depuis plusieurs jours sur internet une femme qui saura répondre à mes attentes, à mon besoin impérieux.
Cette inconnue m'a emmenée chez elle.
Elle m'a à demi dévêtue et allongée méchamment, sans égard, sur sa table de salon.
Mes seins me font terriblement souffrir et chaque pince ajoutée, brûle davantage ma poitrine, faisant irradier la douleur jusqu'au plus profond de mon ventre secoué de spasmes douloureux.
Le va et vient brutal des doigts de ma tortionnaire dans mon vagin me rend folle de plaisirs fulgurants, terriblement intenses.
Je crois que je vais défaillir.
Mon Dieu, je vais m'évanouir...
Ou alors, je vais perdre la tête !
J'ai trop mal à mes seins.
Et elle qui accroit encore la douleur insupportable !
Elle m'a mise toute nue et m'a attachée à des cordes qui entrent sévèrement dans ma peau.
Suspendue ainsi au dessus du sol, à la merci de ses pulsions sadiques, je subit chaque mouvement de la corde, chacune de ses pressions atroces.
Mes seins sont tellement pressés que je suis térrorisée à l'idée qu'ils puissent soudainement exploser.
Elle m'ordonne de lui lécher les pieds. je ne peux rien lui refuser.
Cela ne me viendrait même plus à l'idée.
Tout ce qu'elle exige de moi, je l'exécute en bonne femelle docile.
Je savais qu'elle finirait par me pénétrer, mais j'ignorais que ce serait par derrière.
Elle prends un plaisir total à me sodomiser, sans se préoccuper de la souffrance infligé à mon cul peu habitué à ce traitement.
Je vais rester son esclave jusque tard dans la nuit.
Lorsqu'elle me laissera partir je serais exténuée, abrutie de douleur et de plaisirs immondes.
Cela fait parti de ma vie et j'ai fini par l'accepter...
Je ne laisserai pas voir mon corps blessé à mon mari pendant plusieurs jours, voilà tout !
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