Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 17:32

 

 

 

Je dois vous expliquer que je me fais payer pour coucher avec des hommes ou de femmes. Je le fais pour ne pas avoir à travailler parce que je n'aime pas ça.

Au bout de mon deuxième client, je pensais avoir tout vu. J’avais sucé des bites de toutes tailles, j’avais avalé du sperme, je m'étais faite baiser et même enculer. J’étais devenue une vraie pute, sûre d'elle. Mais on ne se sait jamais tout…

 

3-copie-2.jpg

 

J’avais simplement oublié que j'étais mariée.

 

5-copie-2.jpg

 

Quand mon troisième client se présenta face à moi, je le reconnus immédiatement. Malheureusement pour moi, c'était un copain de travail de mon mari : la tuile, en quelque sorte !

Il était accompagné de sa femme, une véritable ordure sans pitié.

 

6-copie-2.jpg

 

– Eh bien, sardine, on arrondit la fin de mois ? Ton mari va être déçu quand il va apprendre ça !

 
– Je vous en prie, ne dites rien de tout cela… Je vous en supplie…

 
– Tu me prends pour l'abbé Pierre, ou quoi ? Je n’ai aucune envie de te couvrir ; et d’ailleurs, pourquoi je ferais ça ?

 
– Je vous en supplie… Je ferai tout ce que vous voudrez ! Vraiment tout !

 


7-copie-2.jpg

 

J'étais piégée.

 


8-copie-2.jpg

 

– À partir de cet instant, tu m’obéis ; tu deviens ma pute. Au moindre faux pas, je dis tout. T’as compris ?

 
– J’ai compris.

 

9-copie-2.jpg

 

– OK. Je t’explique alors. Ton mec, je le hais ; il me gonfle avec son air supérieur. Alors toi, je vais te baiser par tous les trous, et en plus je vais t’offrir à qui je veux. Au moindre faux pas, je balance tout. T’as compris ?

 
– Je t’ai dis oui.

 
– OK, c'est bien. Alors, tu vas venir avec nous.

 

10-copie-8.jpg

 

– Et je fais quoi ?

 
– Tu verras. Grimpe dans la voiture.

 


11-copie-8.jpg

 

Une fois dans la voiture, je le vis prendre la nationale ; je pensais qu'il allait m'emmener dans un coin tranquille pour me baiser à sa guise. Encore une erreur de ma part.

 

12-copie-8.jpg

 

Il m'emmena effectivement à la sortie de la ville près dgrand parking que je ne connaissais pas du tout, et où quelques camions étaient arrêtées.

Je ne comprenais rien du tout. C’était quoi, cet endroit ?

 

13-copie-7.jpg

 

Je fus vite renseignée.

 

14-copie-7.jpg

 

– Cet endroit, tu vois, c'est un repaire de voyeurs : des mecs qui n'ont pas les moyens de se taper une pute de bourgeois comme toi.

 

15-copie-6.jpg

 

– Mais je…

 
– Tais-toi ! Tu vas te foutre entièrement à poil et te mettre en plein milieu du parking. Tous ces mecs-là, tu vas tout leur donner ; au moindre refus de ta part, je dis tout.

 

16-copie-3.jpg

 

– Ça va, ça va ; j'ai compris.

 


17-copie-1.jpg

 

Entièrement nue, il me fit sortir de la voiture. En un instant, un groupe d'une dizaine de personnes apparut, sorti de nulle part.

 

18-copie-1.jpg

 

Et tout ce groupe se rapprochait ; et moi, je reculais. Et ils s'approchaient encore et toujours, jusqu'à ce que je sois bloquée par un camion qui piégeait ma retraite.

 

19-copie-1.jpg

 

Toutes ces mains me touchaient les seins, le sexe, les fesses.

Puis une main plus vigoureuse m’obligea à m’agenouiller. Immédiatement, je fus entourée par des sexes tendus, de toutes tailles, qui forcèrent ma bouche.

Je fus obligée de sucer et sucer encore…

Je sentis une bite pénétrer mon vagin, puis une autre. Un pieu força sans ménagement le passage serré de mon anus...


20-copie-1.jpg

 

À chaque fois qu'une bite se vidait dans ma bouche ou dans un de mes orifices de femme, une autre prenait sa place.

Pendant de longues minutes, j'ai dû avaler des quantités de sperme de personnes qui, visiblement, n'avaient pas baisé depuis longtemps. Jusqu’à l'écœurement, surveillée par mon bourreau.

 

21-copie-1.jpg

Au bout d'un temps interminable, heureusement, tous ces sexes reprirent une taille normale, annonçant de ce fait la fin de mon supplice.

 

22-copie-1.jpg

 

Couverte de sperme et toujours entièrement nue, je rejoignis la voiture de mon bourreau.

 

23-copie-2.jpg

– C’est bon ! Ça y est ! Mon supplice est terminé : tu as eu ce que tu voulais ; tu t’es vengé de mon mari.

 
– Tu plaisantes ? Ça, c'était rien ! Ça fait que commencer, ma p’tite pute…

 


Par sexaddiction
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Recherche

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés